Once upon a time, L.A.’s cool kids flocked to NaNa to buy their Docs, see the latest street styles and just hang out….
Un beau jour, les jeunes cool de Los Angeles se sont rassemblés chez NaNa pour acheter leurs Doc Martens, voir les derniers styles emmergeant de la rue et juste passer du temps ensemble..
NaNa à ouvert sa première boutique en 1976 à Santa Monica. Le fondateur et créateur/styliste est Nancy Kaufman. Sans NaNa, le plus grand distributeur aux États Unis dans les années 80 et 90, les Doc Martens seraient certainement toujours restées dans les territoires punk anglais. Le dernier magasin NaNa a fermé ses portes en ocobre 2001, mais la communauté qui a grandi dans la mouvance de NaNa s’est recement réunifiée par le biais de Facebook. En effet, un magasin comme NaNa était essentiellement une plateforme sociale: un endroit pour rencontrer des gens qui, selon les propos de la styliste/costumière Nancy Steiner : “étaient différents comme vous”.
NaNa started as a shop in 1976 in Santa Monica. Its founder and designer/stylist is Nancy Kaufman. Without NaNa, which was the brand’s chief U.S. distributor in the ’80s and ’90s, Docs might have stayed the sole province of British punks. The last NaNa store closed its doors in October 2001, but the community that grew up around it has recently reconnected via Facebook. In fact, before Facebook or MySpace, a store like NaNa essentially was a social networking site: a place to connect with others who, in Nancy Steiner’s words (costume designer), “were different like you.”
L’esthétique de la tribu NaNa était un mélange de basiques punk comme les skinny jean’s, Tshirt de groupes de musique, et de surplus militaires surteints, robes vintages des années 40 et 50, costumes confortables, accents fluo New Wave, matériel de bondage et une pointe de western. Personne ne se ressemblait. “Partout ou on allait on nous demandait, ‘Qui êtes vous? Que faites vous?’ ” dit Kaufman. “On a créé notre propre monde. Ils nous ont suivi, ce n’est pas nous qui les suivons.”
The aesthetic of the early NaNa tribe was a pastiche of punk staples such as skinny jeans, band T-shirts, overdyed military surplus, vintage ’40s and ’50s dresses, mod suits, neon New Wave accents, bondage gear and a hint of western twang. Nobody looked alike.“Everywhere we went, people asked, ‘Who are you? What are you?’ ” Kaufman says. “We created our own world. They followed us, as opposed to us following them.”